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Báo cáo lâm nghiêp: Etude de la sectorisation des souches de châtaignier (Castanea sativa Mill.) à l'aide d'eau tritiée
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Tuyển tập các báo cáo nghiên cứu về lâm nghiệp được đăng trên tạp chí lâm nghiệp Original article đề tài: Etude de la sectorisation des souches de châtaignier (Castanea sativa Mill.) à l’aide d’eau tritiée...
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Báo cáo lâm nghiêp: "Etude de la sectorisation des souches de châtaignier (Castanea sativa Mill.) à l’aide d’eau tritiée" Etude de la sectorisation des souches de châtaignier (Castanea sativa Mill.) à l’aide d’eau tritiée G. CARLIER G. CARLIER technique de Christiar Dubois-Paganon Christiane n Université scientifique et médicale dde Grenoble, édicale e Gsenoble, Laboratoire de Botanique, B.P. 68, que, R. P. 68, F 38402 Saint-Martin-d’Hères Cedex Résumé La sectorisation de quatre souches de châtaignier, portant 5 à 7 rejets de cinq ans, a étéétudiée par injection d’eau tritiée dans une racine et mesure de la radioactivité spécifique de l’eautranspirée par les différents rejets. L’expérience a été effectuée trois fois avec des racinesdifférentes. Quelle que soit la racine qui a reçu l’injection, tous les rejets reçoivent de laradioactivité, mais les rejets les plus proches sont très significativement favorisés. On conclut quela sectorisation est seulement relative et que les secteurs de la souche alimentés préférentiellementpar les différentes racines peuvent se chevaucher. Par contre il n’a pas été mis en évidence depréférence significative en faveur des rejets les plus vigoureux. 1. Introduction Les forêts de châtaigniers sont le plus souvent traitées en taillis grâce à la propriétéde cette essence de donner des rejets après coupe rase du pied-mère. Le nombre derejets vivants décroît au cours de la rotation (B 1984). Certains exploitants , ERTHIERpratiquent des éclaircies afin d’avantager les rejets les plus forts. L’avantage peutconsister en une meilleure exposition à la lumière et en une alimentation accrue ensève brute. Ce deuxième avantage ne peut jouer que si la sève transitant par chaqueracine est susceptible d’alimenter plusieurs rejets ou même tous. C’est là qu’on peutconsidérer. l’éveatualité. d7=e peuvent pas être prédites d’après la proximité. Chez le châtai-mais relations ces ne & F (1986), « une racine alimente en priorité les rejetsgnier, d’après A YMARD REDON lui sont proches ; mais lors de l’application de fortes doses de marqueur, laquidistribution s’étend à la sous-unité ou même à t’ensembie de la cépée ». Les marqueurs utilisés par les auteurs cités sont des substances transportées par lasève brute : phytocides dont on observe les effets nocifs sur les rejets, ou phosphatesradioactifs que l’on dose dans des échantillons après un temps choisi. La détectiondirecte des phosphates radioactifs par des capteurs externes déplacés à la surface del’écorce a été pratiquée sur des arbres de futaie 1 OwsTOrr et al. , 1970, 1972) mais n’apas été utilisée pour les souches de taillis. Les doses nécessaires seraient très élevées. Dans le travail présenté ici, on utilise l’eau tritiée 3 qui est évidemment le 0, 2 Hmeilleur marqueur du mouvement de l’eau, principal constituant de la sève. L’objectifdu travail est de rechercher, en fournissant de l’eau tritiée successivement à plusieursracines d’une souche, s’il existe des relations privilégiées entre racines et rejets et quelssont les rejets avantagés, compte tenu de leur position et de leur vigueur. et matériel utilisé 2. Techniques expérimentales 2.1. Matériel L’étude porte sur 4 souches d’un taillis de 5 ans (en 1984) à Notre-Dame del’Osier (Isère). On désigne ici par « souche» un ensemble bien distinct, de 60 à 90 cmde diamètre au niveau du sol, comportant 5 à 8 « chicots » (bases de rejets de larotation précédente) et 5 à 7 rejets vivants. Trois de ces souches sont encore reliées àdes souches voisines, distantes de plusieurs décimètres ou mètres, par des isthmesligneux en décomposition. L’origine du taillis est ancienne ; le recépage y est pratiquétous les 20-25 ans. La base des souches a été dégagée de la souche superficielle de sol afin d’atteindr ...
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Báo cáo lâm nghiêp: "Etude de la sectorisation des souches de châtaignier (Castanea sativa Mill.) à l’aide d’eau tritiée" Etude de la sectorisation des souches de châtaignier (Castanea sativa Mill.) à l’aide d’eau tritiée G. CARLIER G. CARLIER technique de Christiar Dubois-Paganon Christiane n Université scientifique et médicale dde Grenoble, édicale e Gsenoble, Laboratoire de Botanique, B.P. 68, que, R. P. 68, F 38402 Saint-Martin-d’Hères Cedex Résumé La sectorisation de quatre souches de châtaignier, portant 5 à 7 rejets de cinq ans, a étéétudiée par injection d’eau tritiée dans une racine et mesure de la radioactivité spécifique de l’eautranspirée par les différents rejets. L’expérience a été effectuée trois fois avec des racinesdifférentes. Quelle que soit la racine qui a reçu l’injection, tous les rejets reçoivent de laradioactivité, mais les rejets les plus proches sont très significativement favorisés. On conclut quela sectorisation est seulement relative et que les secteurs de la souche alimentés préférentiellementpar les différentes racines peuvent se chevaucher. Par contre il n’a pas été mis en évidence depréférence significative en faveur des rejets les plus vigoureux. 1. Introduction Les forêts de châtaigniers sont le plus souvent traitées en taillis grâce à la propriétéde cette essence de donner des rejets après coupe rase du pied-mère. Le nombre derejets vivants décroît au cours de la rotation (B 1984). Certains exploitants , ERTHIERpratiquent des éclaircies afin d’avantager les rejets les plus forts. L’avantage peutconsister en une meilleure exposition à la lumière et en une alimentation accrue ensève brute. Ce deuxième avantage ne peut jouer que si la sève transitant par chaqueracine est susceptible d’alimenter plusieurs rejets ou même tous. C’est là qu’on peutconsidérer. l’éveatualité. d7=e peuvent pas être prédites d’après la proximité. Chez le châtai-mais relations ces ne & F (1986), « une racine alimente en priorité les rejetsgnier, d’après A YMARD REDON lui sont proches ; mais lors de l’application de fortes doses de marqueur, laquidistribution s’étend à la sous-unité ou même à t’ensembie de la cépée ». Les marqueurs utilisés par les auteurs cités sont des substances transportées par lasève brute : phytocides dont on observe les effets nocifs sur les rejets, ou phosphatesradioactifs que l’on dose dans des échantillons après un temps choisi. La détectiondirecte des phosphates radioactifs par des capteurs externes déplacés à la surface del’écorce a été pratiquée sur des arbres de futaie 1 OwsTOrr et al. , 1970, 1972) mais n’apas été utilisée pour les souches de taillis. Les doses nécessaires seraient très élevées. Dans le travail présenté ici, on utilise l’eau tritiée 3 qui est évidemment le 0, 2 Hmeilleur marqueur du mouvement de l’eau, principal constituant de la sève. L’objectifdu travail est de rechercher, en fournissant de l’eau tritiée successivement à plusieursracines d’une souche, s’il existe des relations privilégiées entre racines et rejets et quelssont les rejets avantagés, compte tenu de leur position et de leur vigueur. et matériel utilisé 2. Techniques expérimentales 2.1. Matériel L’étude porte sur 4 souches d’un taillis de 5 ans (en 1984) à Notre-Dame del’Osier (Isère). On désigne ici par « souche» un ensemble bien distinct, de 60 à 90 cmde diamètre au niveau du sol, comportant 5 à 8 « chicots » (bases de rejets de larotation précédente) et 5 à 7 rejets vivants. Trois de ces souches sont encore reliées àdes souches voisines, distantes de plusieurs décimètres ou mètres, par des isthmesligneux en décomposition. L’origine du taillis est ancienne ; le recépage y est pratiquétous les 20-25 ans. La base des souches a été dégagée de la souche superficielle de sol afin d’atteindr ...
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